« Tout le monde mérite d’être riche ! » de Olivier SEBAN

De son auteur Olivier SEBAN, ce livre est remarquable car il m’a vraiment ouvert les yeux sur l’argent. Il a même modifié certaines croyances ou idées reçues que j’avais sur mes finances et sur l’argent ! Ce livre vous permettra d’atteindre globalement votre but qui est de vous enrichir.

Dès l’introduction, Olivier SEBAN explique qu’il est possible de s’enrichir. Tout le monde peut le faire. C’est simple. Nul besoin d’obtenir un héritage, d’avoir un talent particulier ou de faire des choses particulières, il suffit surtout d’avoir un plan et de passer à l’action.

Il évoque aussi de certaines croyances limitantes que les gens ont sur l’argent ; le fait de s’enrichir au détriment des autres, que l’argent ne fait pas le bonheur, que pour s’enrichir il faut être malhonnête et qu’il faut beaucoup de temps (il parle de 10 ans seulement dans son cas).

La méthode d’Olivier SEBAN pour s’enrichir

Pour atteindre votre but, qui est de vous enrichir, sa méthode pour s’enrichir est constituée de 3 étapes :

1°) Accumulation

2°) Investissement

3°) Protection

Nous allons passer en revue assez rapidement ces trois étapes.

1°) L’accumulation

L’accumulation constitue la première étape de la méthode d’Olivier SEBAN. C’est la plus négligée et la plus difficile pour la plupart des gens. C’est ici que la plupart des gens échouent. Toutefois, pour pouvoir faire fructifier quelque chose, il faut accumuler.

Pourquoi les gens ne s’enrichissent pas ?

Dans la majorité des cas, les revenus correspondent aux nécessités (factures, loyer, prêt, loisirs etc.). Il y a donc une accumulation qui est nulle.

Revenus = Nécessités

=

Accumulation = Nulle

Pour commencer à s’enrichir, il faut que vos revenus soient supérieures à vos nécessités. Ce qui permet de dégager une accumulation positive.

Gains > Nécessités 

=

Enrichissement = Positive

Il explique que pour l’accumuler, il faut se payer en premier, c’est-à-dire, mettre un pourcentage de ce que l’on gagne de côté tous les mois. Globalement, il faut épargner.

On ne doit pas se priver pour mettre en place cette épargne. Il faut faire le bilan de toutes nos dépenses et trouver des solutions alternatives plus économiques afin de dégager des excédents. On dépense intelligemment. Les dépenses sont la conséquence d’action habituelle.

Il faut faire une gestion raisonnée de son budget. Ici vous pouvez aussi vous fixer un objectif en termes d’épargne pour les 5 prochaines années.

La philosophie de se payer en premier permet de se constituer un capital en se récompensant en priorité par rapport aux impôts, aux nécessités et aux superflus.

Olivier SEBAN explique toute une série de stratégie pour dégager des excédents financiers. Il dit de réfléchir à comment faire pour arriver à se payer en premier, comment faire pour épargner.

Ici la patience doit être une vertu car on attend que notre capital devienne suffisant pour pouvoir l’investir.

J’ai écrit un article expliquant dans cet article une méthode simple pour doubler vos revenus.

On peut aussi créer de nouvelles sources d’actifs pour accélérer le processus.

2) Les principes pour s’enrichir

Olivier SEBAN énonce ensuite une série de principes sur l’enrichissement :

– Actifs et passifs

Un actif = quelque chose qui rapporte de l’argent immédiatement ou pour plus tard. A différencier d’un revenu.

Par exemple, l’immobilier si génère des loyers, day trading, travail etc.

Un passif = quelque chose qui nous fait perdre de l’argent.

Par exemple, un prêt à la consommation, les impôts etc.

Il explique que le schéma pour s’enrichir est de financer des actifs et de réduire ses passifs.

Pour atteindre l’indépendance financière, tes actifs doivent couvrir tes nécessités.

Actif > Passif = Enrichissement

Passif > Actif = Appauvrissements

Il explique en outre qu’il faut investir sur des véhicules d’enrichissement qui font que votre argent va prendre de la valeur avec le temps. Votre rendement doit être supérieur à l’inflation. Sinon, vos euros vont perdre de la valeur.

– PEGR (Petit effort gros résultat) et GEPR (Gros effort petit résultat)

Il fait la différence entre ceux qui font de gros efforts pour avoir de petits résultats et ceux qui font de petits efforts pour avoir de gros résultats.  Les premiers travaillent beaucoup pour avoir peu. Les autres travaillent peu pour avoir beaucoup.

Si on n’a pas de patrimoine ou de revenus conséquents, on est en GEPR. Le but est de travailler le plus possible pour se retrouver rapidement en PEGR, c’est-à-dire, se constituer un capital.

– L’argent des autres

L’argent des autres est illimité alors que le nôtre est limité. L’argent des autres permet d’accélérer votre processus d’enrichissement. Il faut réussir à faire travailler l’argent des autres pour vous.

Par exemple, un locataire qui en versant un loyer paie le prêt et les intérêts. Une acquisition d’un bien immobilier par un prêt bancaire. Les intermédiaires, comme un courtier qui vous font faire des économies.

– L’expérience des autres

Profiter de l’expérience des autres permet de gagner du temps. Quelqu’un qui a déjà réussi dans un domaine nous fera réussir rapidement dans ce domaine.

2°) L’investissement

Pour Olivier SEBAN, il y a différents vecteurs dans lesquels on peut investir notre accumulation afin de le faire fructifier. L’argent travail 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Il explique que nous devons faire que notre capital se rémunère.

– La bourse

Ici Olivier SEBAN parle d’investissement et non de spéculation. L’investissement permet de se constituer un capital sur le long terme. La spéculation permet de générer des revenus.

Il y a un risque. Il y a toujours un risque sinon on ne pourrait pas gagner de l’argent. On doit donc apprendre à gérer le risque.

Deux techniques pour gagner en bourse

La bourse va à la hausse comme à la baisse. Pour gérer ce risque, on doit appliquer le principe du coût moyen rapporté.

Ce principe consiste à investir tous les mois la même somme. Lors des baisses, on achètera plus d’action qui fera que lors des hausses notre capital se revalorisera encore plus.

La seconde technique qu’il préconise est de diversifier son portefeuille (pas plus de 10 actions différentes).

Les actions peuvent disparaître en cas de crise. Il conseille donc d’investir sur des trackers qui modulent l’évolution du CAC 40. C’est un indice représentant un ensemble d’action. Donc lorsqu’une action disparaît, elle sort de l’indice et elle est remplacée par une autre.

Il faut aussi faire attention au coût des intermédiaires.

Il explique que les comportements des investisseurs sont régis par 2 émotions : la peur de perdre de l’argent qui pousse à vendre et la cupidité, l’envie de gagner plus d’argent qui pousse à acheter en prenant trop de risque.

Pour investir en bourse, il faut selon lui être méthodique et discipliné. Pour cela, il est bien d’intervenir le moins possible directement. Cela pousse à faire des erreurs.

– L’immobilier

Enfin, Olivier SEBAN se penche sur l’investissement immobilier. Ici le problème de l’investissement immobilier est la valeur élevée de ce type de bien. On est souvent obligé d’avoir recours à un prêt bancaire. Ce prêt permet de financer un actif.

Ton but est de capter l’argent des autres pour financer entièrement ton prêt et dégager des revenus.

Il y a 2 manières d’investir dans l’immobilier : l’investissement locatif et l’achat-revente

L’investissement locatif

Le premier principe à respecter pour réussir ton investissement locatif est que les charges de l’immeuble doivent être inférieure ou égale aux loyers perçus.

Charges de l’immeuble >= Loyers perçus.

Les charges de l’immeuble = mensualités du crédit, impôts (taxe d’habitation, taxe foncière et impôts fonciers ou autre) et réparations de l’immeuble.

Il faut chercher à faire des économies car c’est à l’achat que se fait les bénéfices.

Pour trouver un bien immobilier, il faut avoir recours à des agences. Elles permettent de faire diminuer le prix de l’immeuble. Les bonnes affaires existent mais elle ne reste pas souvent longtemps sur le marché. Il faut donc être très réactif et pouvoir dès la parution d’une annonce visiter le bien.

Négocier le coût du crédit avec le banquier et demander une clause de remboursement anticipé sans frais.

Négocier avec les entrepreneurs qui font les travaux et les mettre en concurrence pour faire des économies.

Toutes ces petites économies à l’achat permettent d’augmenter la rentabilité. On peut aussi faire des économies d’impôt avec les dispositifs fiscaux ou selon les différents régimes d’imposition.

Le filtre pour savoir si le bien est une bonne affaire est de calculer la rentabilité qui doit être au minimum de 7 %.

Rentabilité = Loyers / Charges du bien x 100

Un autre vecteur d’investissement qu’Olivier SEBAN évoque est la spéculation ou l’entreprise. Je ne développerai pas ces points ici. Vous les trouverez dans le livre d’Olivier SEBAN que vous pouvez vous procurez sur Amazon sur le lien (lien affilié) suivant :

Enfin, il parle de protection de ses investissements. Il donne différentes manières de protéger à minima ses investissements pour diminuer le risque.

C’est un livre qui m’a apporté énormément sur le plan financier. J’applique d’ailleurs assidûment ses conseils et astuces pour s’enrichir.

Conclusion

En conclusion, ce qui m’a le plus plu sur ce livre est qu’il est pratique. Les conseils sont ultra simple d’application, très compréhensible et surtout pratique.  Ce livre vous permettra d’atteindre facilement votre but ou objectif d’enrichissement.

Pour vous le procurer, il vous suffit de l’acheter sur le lien suivant :

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